Vous trouverez ici quelques chroniques et critiques au sujet de mes livres
Le bagne de feu
[...] Avec Le Bagne de feu, Pascal Malosse, qui commence à se faire un joli nom dans le fantastique (Soleil trompeur), trousse un conte à la Jean Ray – il n’est pas Belge pour rien – où l’historique et le social se mêlent à l’infernal dans la grande tradition pour un récit rapide et efficace où, si l’on a tout de même un peu de mal à accepter le passage quelque peu brutal du réalisme à l’apocalyptique, demeurent à l’œil des images fortes qu’on verrait bien se concrétiser dans une bonne petite série B du vendredi soir (Malpertuis). Jean-Pierre Andrevon dans l'Ecran Fantastique de Novembre 2024 Lire la suite ici
Sous nos latitudes sombres
Le style d'écriture de Pascal Malosse est très plaisant. Il sait être précis et efficace mais il se rapproche aussi à certains égards de la prose plus délicate et descriptive des maîtres de l'horreur gothique du XIXe siècle. On passe tour à tour du conte à la dystopie, de l'histoire de fantôme un peu classique au récit onirique. Certaines thématiques se retrouvent en plusieurs points du recueil. Impossible par exemple de passer à côté du fait que l'auteur a vécu en Belgique. L'action s'y passe parfois. Ou il est fait référence au pays. Cependant, la Belgique n'est pas le seul pays représenté par ces latitudes sombres, l'Allemagne ou l'Irlande y figurant également. Le caractère urbain, la mer, la violence des éléments, le colonialisme, l'art sont tout autant de thèmes abordés. [...] Les chroniques de l'imaginaire Lire la suite
Sous nos latitudes sombres
Dans "Sous nos latitudes sombres", l'auteur nous présente à nouveau sa grande créativité en plaçant la vingtaine de nouvelles dans des régions plus sombres et plus froides, un recueil qu'il dit lui-même être inspiré de son enfance à Bruxelles. Si, comme moi, vous raffolez du format qu'offre la nouvelle et des rebondissements qu'elle garantit en fin de pages, pensez à placer ce recueil sous votre sapin. Le format et la qualité des nouvelles vous les feront enchainer les unes après les autres. La chaleur, le sable, les médinas et autres temples grecques étaient à l'honneur dans "Soleil trompeur". Ici, et avec l'arrivée de la période hivernale, on grelote littéralement et l'humidité dont sont imprégnées de nombreuses nouvelles semble transpercer les pages. Le thème de l'eau a une place prépondérante dans le recueil, et Pascal Malosse n'a pas besoin d'aller chercher au fond des océans pour nous effrayer. Même une simple pluie devient vite inquiétante comme c'est le cas dans la première nouvelle, "pluie sans fin" Kimamori La suite
Sous nos latitudes sombres
« Sous nos latitudes sombres » est un recueil angoissant et horrifique de vingt-et-une nouvelles toutes plus intéressantes les unes que les autres. Parmi ces vingt-et-une histoires, seule une ne m’a pas vraiment plu, toutes les autres m’ont profondément embarqué au point que ma lecture fût frénétique. Le format court des nouvelles y est aussi pour quelque chose, ainsi que la fin de chacune qui réserve d’énormes surprises. Même si ce n’est pas le cas de toutes les histoires, une bonne partie se déroule autour du thème de l’eau et j’ai beaucoup aimé cet aspect. [...] Un bouquin sinon rien Lire la suite
L'île aux moines
"J’ai vraiment eu l’impression de replonger dans Au Nom de la Rose, pour mon plus grand bonheur. On a beau être dans un roman court, l’auteur arrive à nous immerger toute de suite et il est impossible de décrocher. Plus on avance, plus on imagine toute les hypothèses même les plus improbables. La lecture est fluide, dynamisée par des chapitres courts, ce qui ne laisse pas le temps de souffler, on veut avancer !! Et on regretterait presque que ce soit un roman court !!" Back to the geek Lire la suite
Soleil trompeur
"Des nouvelles fantastiques d'un auteur qui en a fait sa spécialité. Point de références avouées ou lisibles ici, mais des textes courts en général dont Malosse a choisi l'ancrage géographique précis et documenté : un chantier de tours qui s'élèvent plus vite qu'elles ne devraient, l'île italienne de Trinari qui semble avoir été abandonnée du monde, une salle de cinéma lors d'une première où ce qui arrive dans les travées est le reflet de ce qui se passe à l'écran. [...] Autant de textes qui charment et surprennent." Jean-Pierre Andrevon L'Ecran Fantastique Novembre 2020
Soleil trompeur
"Pascal Malosse intègre de l’étrange dans des environnements qui apparaissent ensoleillés, joyeux et volontiers idylliques, pour en montrer leurs aspects les plus sombres, à travers l’émergence de l’étrange, de la cruauté, qu’elle soit d’ordre individuel ou social. On observe également que l’auteur situe ses nouvelles à des époques différentes, avec par exemple la fin du 19ème avec « La Portraitiste », qui prend place pendant l’insurrection Bulgare, le début du 20ème avec « Le Jeu », l’Italie fasciste avec « Les Fantoches », l’époque contemporaine dans plusieurs nouvelles." Les chroniques du chroniqueur Lire la suite
Musée Noir
Avec « Musée Noir » nous sommes sur une novella (120 pages) mais qui s’avère très riche et complète, j’ai adoré cette lecture entre ésotérisme et guerre civile, colonialisme et histoire de fantômes, amour et enquête policière. [...] Un bouquin sinon rien Lire la suite
Les fenêtres de bronze
"Montant progressivement en puissance, Les fenêtres de bronze est le roman type du roman d’angoisse, que Boileau-Narcejac et Georges-Jean Arnaud, en tant que romanciers, et Hitchcock, en tant que cinéaste, n’auraient pas désavoués." Paul Maugendre Lire la suite
Les fenêtres de bronze
" [...] Les fenêtres de bronze est un « conte macabre moderne » reflétant notre société et qui a réussi à me convaincre, pour preuve je l’ai lu quasiment en une fois, sans pouvoir relever la tête avant d’avoir fini, ce qui pour mon plus grand plaisir, m’a empêché de me pencher sur d’éventuels petits défauts, qui seront donc insignifiants comparé au reste. Merci Monsieur Malosse pour cette belle histoire qui fait réfléchir à la différence." Blog Un bouquin sinon rien Lire la suite
Contes de la vodka
"Les Contes de la vodka (et non pas ceux du whisky, propres à Jean Ray) ne comptent pas moins de 23 nouvelles, résolument à l’Est, de l’autre côté du rideau de fer mais également de celui, plus ténu du fantastique, de l’onirique et de l’étrange. Drogue du voyage, folklore et esprit de la forêt, espionnage et guerre froide, reconstruction de Varsovie, mannequins évanescents, ville ultra-connectée ou en ruines oppressives, fameuse vodka éponyme… nul doute que chacun y trouvera son compte, dans cette variété de nouvelles puissamment évocatrices." ActuSF La suite
Contes de la vodka
"Ce deuxième recueil de nouvelles de Pascal Malosse est un choc. Je suis sorti de ces 200 pages avec le sentiment d'avoir découvert un écrivain majeur dans un genre finalement assez peu pratiqué dans notre langue, plus de l'étrange (weird) que du fantastique proprement dit. On pense parfois à Ligotti, ce qui est un sacré compliment, mais Malosse a suffisamment de talent pour se passer de comparaisons. Très chaudement recommandé." Par Benoît Domis, rédacteur en chef de la revue Ténèbres La suite
Contes de la vodka
"Contes de la vodka est un recueil de vingt-trois nouvelles dont le fantastique, tantôt glaçant, tantôt onirique ou fantasque, agrippe petit à petit le lecteur, l’inquiète puis le rassure, l’égratigne puis le fuit pour mieux revenir l’attaquer. Entre ces pages, vous trouverez des fantômes et des esprits de la forêt, des pervers et des désespérés, des idéalistes et des fous. Ces textes dérangeants s’insinuent dans votre esprit, inspirent l’effroi, la compassion ou la fascination. Chaque nouvelle est une surprise et page après page vous vous raccrocherez à elle ou tenterez de la repousser de toutes vos forces. [...] Par Siana, V&S La suite
Contes de l'entre-deux
"Belle découverte d'un jeune auteur prometteur chez un éditeur que je n'avais encore jamais essayé. A garder à l'oeil car c'est un auteur qui pourra livrer de belles choses dans le futur. [...] La plume est bien tournée et on est facilement immergé dans ses histoires. On se laisse donc porter par des histoires plus étranges les unes des autres, oscillant entre aujourd'hui et hier. Le style de récit de Pascal Malosse m'a fait penser à Jacques Sternberg. Bien sur, l'auteur de ces nouvelles n'a pas (encore?) la maîtrise de ce grand auteur, mais il y a un je ne sais quoi qui les rassemble au niveau de l'étrangeté, des atmosphères dégagées" Par Julien Vanderhaeghen, La suite
La nuit dans leurs yeux
"la construction narrative est fort différente, avec une convergence vers le centre (fantastique) de l'œuvre plus que vers sa fin : Pascal Malosse distord ainsi (sans toutefois l'écarter complètement, j'y reviendrai) la structure à chute traditionnelle" "La première chose qui vient à l'esprit au vu d'une intrigue pareille (qui se passe majoritairement dans la capitale d'un pays imaginaire d'Europe de l'Est, Lvylin, sorte de croisement entre la Lviv ukrainienne et la Lublin polonaise), c'est son évidente parenté avec des films politiques comme le "Missing" de Costa-Gavras (qui se passe dans un pays jamais nommé, mais évoquant fortement le Chili dictatorial) ou l'American Nightmare de James DeMonaco" "Néanmoins, un peu comme on trouve souvent, dans le fantastique classique, ce que Jacques Finné appelle la "fausse double explication" (une "rationnelle" mais "artificielle", l'autre "surnaturelle" mais "convaincante", pour reprendre les termes de Katarzyna Gadomska), il y a une autre interprétation possible de La Nuit dans les yeux, qui est plus conforme aux canons du genre (tels que les décrit Joël Malrieu, le plus fin théoricien du fantastique selon moi), en ce qu'elle fait du phénomène le reflet des personnages." "Tout au long de "La Nuit dans les yeux" (pas seulement donc dans cette magistrale troisième partie), Pascal Malosse souligne cette propension de ses personnages à l'introspection par le recours au motif symbolique du "labyrinthe" "Cette double interprétation (socio-politique et psychologique) de "La Nuit dans leurs yeux", qui rapprocherait Pascal Malosse d'Andrevon (tel que le décrit Katarzyna Gadomska) ou de la Mélanie Fazi neuro-queer des Nuits du Vertigo, c'est sans doute ce qui en fait toute sa richesse, et justifie que son auteur soit considéré par Katarzyna Gadomska comme un membre important de "la seconde vague des nouveaux fantastiqueurs". Weirdaholic Lire la suite
Le bagne de feu
Rendant compte d'Après toi les ténèbres, autre roman fantastique de cette rentrée littéraire 2024 (mais en provenance d'outre-Atlantique, et avec une esthétique radicalement différente), j'écrivais que l'affinité profonde du genre fantastique avec la brièveté pousse les romanciers fantastiques à user de stratégies narratives spécifiques, telles que les histoires imbriquées ou répétées, voire superposées. Même s'il y a au moins une histoire imbriquée dans Le Bagne de feu (ouvrage lu en service de presse), celle de Claudia dans les chapitres 34 à 36, la technique principale mise en oeuvre par Pascal Malosse est ce que j'appellerai la mèche à combustion lente : une petite flamme fantastique, si petite qu'elle en est parfois imperceptible, court le long d'un fil narratif réaliste, jusqu'au moment où elle fait exploser le récit (cette métaphore pyrotechnique est d'autant plus approprié que la majeure partie du roman se situe sur une île volcanique, j'y reviendrai). [...] Giuseppe a peut-être des doutes, mais nous, nous n'en avons aucun : Le Bagne de feu est bel et bien un roman fantastique efficace, de ceux qui ambitionnent de retrouver un certain classicisme plutôt que de révolutionner le genre de fond en comble. Weirdaholic Lire la suite
Sous nos latitudes sombres
D'EXCELLENTES NOUVELLES La pluie a commencé un dimanche de septembre ». Ainsi commence un texte de onze pages qui s’achève par : « Au gré des tourbillons, des trombes, des rafales, des tumultes d’eau, j’étais balloté comme un déchet en pleine tempête et je sus que je ne reverrai jamais ma famille ». Raconté de manière aussi sobre que prenante, la nouvelle "Une pluie sans fin" ouvre le recueil "Sous nos latitudes sombres", signé du Belge Pascal Malosse, déjà auteur de quatre ouvrages (dont un roman) où il explore à pas de chats toutes les phases d’un fantastique qui ignore le gothique pour se recentrer sur le contemporain. Ici, nous trouvons aussi Hermine, la pauvrette, qui avait l’habitude de flâner sur les berges de la rivière traversant la ville et y ramasser des objets jetés ayant quelque utilité pour elle. Mais qu’est-elle devenue quand la municipalité a décidé de combler le cours d’eau ? (La rivière voûtée). On assiste aussi au pire : « La mer se déversa sur la plaine d’une manière à la fois naturelle et majestueuse. Tout ce qu’elle emportait semblait se résigner, s’agenouiller à sa venue… » (Le niveau de la mer). Que d’eau, que d’eau ! serait-on tenté de dire à la lecture de ces 22 nouvelles courtes ramassées dans un mince recueil de 180 pages et se répondent dans l’élément liquide déchaîné ou insidieux qui parait bien vouloir se débarrasser de l’humanité. Avec ces ruelles noyées, ces vieux ports envahis, ces jetées battues par les flots, ces bateaux donnant de la bande (comme le très inquiétant "La Traversée", où un paquebot aperçoit dans la tempête l’écho démantibulé de ce qu’il va devenir), l’auteur suit avec aisance le chemin tracé par un Jean Ray, qu’il peut à l’occasion abandonner pour un retour à la terre ferme où l’on n’est pas mieux loti, témoin certaine visite à un moulin dont les ailes sont faites de chair humaine. Malosse, pas de doute, a de la patte. Jean Pierre Andrevon L'écran fantastique, septembre 2022
L'île aux moines
" Pascal Malosse nous livre une fois encore un roman plein de mystères, un peu de sanglant (enfin un peu...). Entre tracas de l'âme et du corps, le récit propose une plongée dans l'univers monacal et surtout celui des superstitions. On y retrouve la force évocatrice de l'auteur dans les descriptions, sa gestion du suspense qui saura surprendre le lecteur et surtout une écriture riche." Scifi Universe Lire la suite
Soleil trompeur
"Un des points forts de ce recueil est la grande cohérence et l’homogénéité des nouvelles qui le composent. Aucune ne m’a donné l’impression de ne pas être à sa place, ou d’être inclue pour combler un manque. Ensemble, elles tombent juste. Le deuxième point qui m’a profondément marqué est la qualité de l’écriture. La plume de Pascal Malosse est riche et très travaillée, on y décèle un grand soin dans le maniement des mots. [...] Amelia Luciani Kimamori.fr Lire la suite
Soleil trompeur
"Pascal Malosse nous guide sur les pas de l'exploitation de l'être humain, la confusion, la recherche de solitude, la résignation, la soif d'argent et de pouvoir, la folie des hommes, la peur et même la dystopie dans une des dernières histoires (d'ailleurs excellente cette histoire là). [...]Si vous aimez les histoires courtes, sombres, fantastiques et aux fins inattendues, ce livre est fait pour vous." Un bouquin sinon rien Lire la suite
Les fenêtres de bronze
" [...] Ce roman affiche de belles images comme ces feuilles volantes tombant du ciel et racontant toute la détresse d’Élisa. Son récit poignant et touchant éveille la curiosité de Théo comme celle des lecteurs qui ne peuvent échafauder que des théories, sans comprendre ce qui se cache derrière. La situation étrange, l’atmosphère oppressante et vénéneuse sur certains points donnent du cachet à cet ouvrage au fantastique discret mais bien vu. Peut-il seulement y avoir un happy end alors que la compréhension se fait jour ? En réponse, les dernières pages sont aussi belles que déprimantes." Yozone Lire la suite
Les fenêtres de bronze
"Les Fenêtres de bronze est un roman qui décrit l'isolement, l'enfermement et l'aliénation complète d'un personnage féminin, Elisa, qui tente de se construire à travers la littérature et l'écriture, qui lui permettent d'échapper à son cruel destin. Pascal Malosse dépeint ainsi, à travers le rapport du reste de l'Humanité à son personnage, une horreur des comportements, et des traditions familiales superstitieuses et mortelles, dans lesquelle Théo, garçon de café parisien, va s'engouffrer après avoir lu les textes d'Elisa, qu'il va tenter de sauver. La lecture et la littérature sont ainsi décrites comme des objets salvateurs pour l'individu, qui lui permettent d'accéder au langage et à une forme d'humanité, alors qu'il est réifié." Les Chroniques du chroniqueur La suite
Contes de la vodka
"Personnellement, j’ai bien sûr apprécié le clin d’œil à Jean Ray, ainsi que l’ambiance crépusculaire des Varsovie, Berlin, et autres villes du Nord. « La fille de la frontière » me reste en mémoire, preuve qu’il m’a marquée. Si je devais résumer l’impression laissée par votre recueil, ce serait : un grand pouvoir d’évocation, ce qui n’est pas un mince compliment quand il s’agit de nouvelles." Joëlle Wintrebert, auteure, présidente du jury du Grand Prix de l'Imaginaire
Contes de la vodka
" [...] L'auteur dont on apprend qu'il est franco-polonais, est né à Bruxelles, a vécu à Berlin et Varsovie, parle allemand et polonais. Des détails qui n'ont rien d'anecdotique, mais condensent des sources d'inspiration à la fois diverses et convergentes où sont forts l'imprégnation de la grisaille et de l'orwellisme en germe de ce qu'on appelait autrefois "les pays de l'Est", mais aussi du fantastique allusif qui fait le charme du plus grand conteur issu du plat pays, Jean Ray. [...] Son style aussi classique qu'élégant en rend la lecture plus qu'agréable. En tout cas, il mérite amplement le nom de la maison qui l'édite. " Par Jean-Pierre Andrevon dans l'Ecran Fantastique d'Octobre 2017 La suite
Contes de l'entre-deux
"Si ces nouvelles sont cataloguées fantastiques, n’allez par croire que l’auteur sacrifie à la facilité. Pas de vampires, de fantômes dans le sens par lequel ils sont la plupart du temps représentés, d’animal féérique ou maléfique, de tour de magie ou autre. Non, Pascal Malosse joue avec une autre thématique du fantastique, la distorsion du temps et la métalepse. Le tout s’intègre dans une aura d’étrange, de bizarre, de cauchemar éveillé. Dans un monde qui pourrait être, qui est le notre. Juste des faits de société, des épisodes mis en avant et exploités comme dans une glace déformante ou mis sous la loupe. Ce qui n’exclut pas parfois une petite touche d’humour. [...] Paul Maugendre La suite
Contes de la vodka
" [...] Le ton utilisé, les phrases ciselées (rien qui ne soit en trop) me fait penser à cet auteur que j'admire : Julio Cortázar qui écrit des textes absurdes et étranges comme j'aime. Tous ont leur univers addictif et valent le coup d'être lus ! Par petites touches, Pascal Malosse nous met la tête dans l'eau alcoolisée et on en redemande! Ce n'est pas à proprement parler de l'horreur, mais on ressent un malaise certain entre ses lignes. Cet auteur mériterait d'être lu et reconnu plus encore ! " Par Françoise Grenier Droesch La suite
Contes de l'entre-deux
"[...] Ce qui frappe, une fois le livre refermé, c'est la cohérence de l'ensemble. L'univers de Pascal Malosse se révèle diaboliquement homogène. Sa vision du monde est d'ailleurs tout entière résumée dans le titre de l'ouvrage. Il existe effectivement un entre-deux, une zone crépusculaire dans laquelle l'être humain peut s'égarer et perdre le contrôle de sa destinée, si tant est qu'il ait jamais contrôlé quoi que ce soit. [...] Des idées, Pascal Malosse en a à revendre, parfois bizarres, surprenantes ou noires, mais toujours intéressantes. On ne peut donc que saluer les éditions Malpertuis pour l'opportunité qu'elles donnent à de jeunes auteurs inventifs et originaux de toucher un public d'amateurs éclairés." Par Blahom La suite